Lorsque l'obscure approche
Je sens le néant me prendre
Je ferme les yeux au sombre
Mais rien n'efface aux ombres
Rôdeur de mes nuits agitées
L'odeur s'epenche a la nausée
Toujours cette boulle au ventre
Qui remonte jusqu'à la gorge
Plus aucun mots ne s'étirent
Mon souffle coupé, s'égosille
Par des bouffées d'horreurs
Hâtive que se lève la lueur
( N@th...)
Je sens le néant me prendre
Je ferme les yeux au sombre
Mais rien n'efface aux ombres
Rôdeur de mes nuits agitées
L'odeur s'epenche a la nausée
Toujours cette boulle au ventre
Qui remonte jusqu'à la gorge
Plus aucun mots ne s'étirent
Mon souffle coupé, s'égosille
Par des bouffées d'horreurs
Hâtive que se lève la lueur
( N@th...)
( le samedi 04 octobre 2014 )